 Posted: Mon 5:38, 16 Sep 2013 Post subject: barbour sale LOTAN à la rescousse du béret |
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| , seule subsiste Béatex, une entreprise d'Oloron-Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques). Béatex pour "Béarn Textiles", car, justement, en fait de béret basque, la plupart de ces couvre-chefs ont toujours été confectionnés en Béarn.
Bref, l' du béret marquait le pas quand, mercredi 9 février, une bonne nouvelle est arrivée de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord : Béatex est [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] homologuée par l' pour des bérets aux ées des 28 pays membres de cette alliance. "Désormais, nous sommes un fournisseur officiel, [url=http://www5f.biglobe.ne.jp/~shanil/mv/bbs2/t-yybbs.cgi]hollister pas cher Voile inté[/url] plastronne Pierre Lemoine, patron de Béatex depuis 2008. Nous serons obligatoirement consultés quand l'OTAN lancera des appels d'offres afin d' soit les troupes [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] de l'organisation, soit l' de chacun des pays [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] membres." Ce marché potentiel représente 10 millions d'euros quand Béatex a clos l'année 2010 avec des ventes de 4 millions d'euros. "Il vaut même 100 millions d'euros si l'on prend en compte les besoins américains, mais ne rêvons pas !", tempère M. Lemoine. Le béret militaire a [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]air jordan pas cher[/url] su ses classes en Béarn. [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] En décembre 2010, l'armée fran?aise a passé commande à Béatex de 60 000 pièces sur quatre [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] ans, un marché [url=http://www.zby.net.cn/forum.php?mod=viewthread&tid=14006]woolrich parka Vos moments forts du Mondial[/url] de 740 000 euros. De l'Armée de libération du aux rebelles castristes de , en [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] passant [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] [url=http://www.calm-space.com/claustrophobia_support_group/discussion/32260/barbour-votre-avis-lemonde.fr]barbour Votre Avis - LeMonde.fr[/url] par la Bundes-wehr, le béret reste de rigueur. Avant la première guerre du Golfe, l' était aussi un client très fidèle et le pays de Saddam Hussein payait réglo, à condition, exigeait le ra?s, que la livraison ne passe pas par . Aujourd'hui, les marchés militaires dégagent assez peu de marge. Le coeur de métier de Béatex et de ses quarante salariés est plut?t l'article de : l'entreprise béarnaise collabore régulièrement avec des enseignes de haute couture [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] ou de confection comme Agnès b., Kenzo ou . Car le béret est [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] régulièrement remis au go?t du jour, hier par dans le film Bonnie and Clyde et aujourd'hui par Madonna. La concurrence est [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] en mais aussi en et au , mais guère plus au Pays basque espagnol, où l'entreprise Elosegui de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] Tolosa (province du Guipuscoa) fait plut?t du pur béret basque et non du béret militaire : "Et ce n'est pas du tout la même chose, explique M. Lemoine. Les armées veulent de l'uniforme, avec un grammage variant au plus d'une ou deux unités." HAUTE COUTURE A la fin des années 1980, il ne restait plus que trois rescapés : Blancq-Olibet à Nay (Pyrénées-Atlantiques), Beighau et Laulhère à Oloron. Le premier s'est rabattu sur un musée du béret, le deuxième a été absorbé par Laulhère, devenu Béatex. Tous ont subi le changement des comportements : les hommes ne portent plus de chapeau, les femmes en raffolent modérément et, pour la coiffe des ferias, la concurrence chinoise s'est imposée. |
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