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clkelyqld2
PostPosted: Sun 7:43, 06 Oct 2013    Post subject: barbour paris Réforme des retraites la course c

En dehors de [url=http://www.mountain-forest.co.jp/aska/aska.cgi/%3C/a%3E%3C/div%3E%3Cbr%20/%3E%20%20%20%20%3Cdiv%20class%3D]louboutin pas cher Après le [/url] la FSU et de Solidaires - les SUD qui réclament le retour aux 37,5 annuités de cotisations pour une retraite à taux plein -, [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] qui se gardent bien de à cette thématique à l'intersyndicale, ni la CGT ni la CFDT ni la CFTC ni l'UNSA ne demandent le retrait du projet de réforme. Ces cinq organisations admettent, compte tenu des besoins de financement de l'assurance-vieillesse, qu'une réforme est nécessaire, mais elles récusent celle de M. Sarkozy, "injuste et inacceptable". Au soir de la mobilisation du 24 juin, où la CGT a comptabilisé près [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister[/url] de 2 millions de manifestants, Bernard Thibault, qui a imposé cette stratégie en interne, revendiquait [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] une "véritable négociation" en vue d'une "réécriture" du texte. Au diapason, Fran?ois Chérèque pressait le gouvernement de "réécrire cette réforme pour qu'elle soit juste".
Une stratégie du "tout ou rien" risquant de les à une impasse, dans un combat d'où ils sortiraient bredouilles, les syndicats préfèrent la carte du réalisme sur leur capacité à et à des résultats, peut-être limités mais visibles. Mais, en marge de l'intersyndicale, FO continue à réclamer le retrait de la réforme Sarkozy. "Quand un texte n'est pas bon, a affirmé son secrétaire général, Jean-Claude Mailly, on l'efface, on ne le réécrit pas (...). C'est là-dessus qu'on se bat et qu'on se battra !"
Rejointe par FO, qui la boudait depuis l'automne 2009, l'intersyndicale (CGT, CFDT, CFTC, UNSA, FSU, Solidaires), réunie le 29 juin, a appelé à une nouvelle journée nationale de grèves et de manifestations, le 7 septembre, au moment où s'ouvrira la session extraordinaire du Parlement qui débattra de la réforme des retraites. Elle vise une "mobilisation d'ampleur" durable, jusqu'à la fin du débat parlementaire. Mais elle [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] est engagée dans une course de vitesse jalonnée de multiples emb?ches. Il y a d'abord celle du calendrier dont, depuis le lancement de la réforme, en avril, l'exécutif a su . Avec un conseil des ministres le 13 juillet et un débat parlementaire dès la rentrée, le gouvernement table sur une période peu propice à la combativité.
, il est arrivé à certains dirigeants syndicaux d' rééditer "l'exploit du CPE", quand, tel David, le mouvement syndical avait eu raison de Goliath. C'était en 2006, et au terme d'un combat de plusieurs mois, un front syndical inédit et [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] uni - douze organisations de salariés, d'étudiants et de lycéens - avait obligé à au contrat première embauche (CPE) qu'il avait concocté pour [url=http://www.fhxmz.com/E_GuestBook.asp]giuseppe z[/url] les jeunes. Sur la réforme des retraites, l'histoire ne se répétera pas.
Dans un contexte où les politiques de rigueur vont s' - une manifestation syndicale européenne est prévue le 29 septembre à Bruxelles -, l'intersyndicale va se pour au maximum la réforme lors du débat parlementaire. La pénibilité, les longues, la situation des assurés polypensionnés - qui ont cotisé à plusieurs régimes -, le maintien à 65 ans de la retraite à taux plein, seront ses chevaux de bataille. Si elle obtient des concessions, elle n'aura pas perdu la face. Courriel : noblecourt@lemonde.fr. [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url]
Sur le CPE, la mobilisation des douze syndicats avait un objectif unique : le retrait pur et simple du contrat. Rien de tel cette fois. Les syndicats se gardent de tout jusqu'au-boutisme et évitent la radicalisation, au point de à sur le seul terrain syndical. Ainsi, il n'est pas question d' les ennuis politiques d'Eric Woerth, encore moins de la démission du ministre du travail, d'autant plus que pour les syndicats il n'est que le porte-parole de M. Sarkozy, véritable auteur de la réforme.
A la différence du contrat première embauche, où les jeunes avaient [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] été rejoints par leurs a?nés, qui s'inquiétaient pour l' de leur , la fronde contre la réforme des retraites est loin de toutes les générations et tous les secteurs d'activité. Les [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] jeunes ont du mal à se concernés. Les retraités sont, d'après les enquêtes d'opinion, plut?t favorables au recul de 60 à 62 ans de l'?ge légal de départ à la retraite. Et pour [url=http://www.11yx.net/uchome/space.php?uid=183&do=blog&id=183034]tiffany outlet Do You Want To Be An Entrepreneur[/url] les régimes spéciaux, comme la SNCF, déjà réformés en 2008, la hausse progressive de l'?ge de la retraite ne s'appliquera qu'à du 1er janvier 2017, au lieu du 1er juillet 2011 pour les salariés du privé et les fonctionnaires.
A l'exception de la CFE-CGC - qui, avec Danièle Karniewicz, favorable au report à 62 ans, préside la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV) -, en proie à des divisions internes, tous les syndicats veulent la pression le plus longtemps possible. "Il faudra prévoir des initiatives d'ampleur pour plier le [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] gouvernement", assure Eric Aubin, secrétaire de la CGT chargé des retraites, dans L'Humanité du 26 juin. Mais les dirigeants syndicaux se gardent bien de des illusions exagérées [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] sur leur capacité à durablement. A la rentrée s'ouvrira une autre séquence, à droite comme à gauche, avec le début de la campagne électorale pour la présidentielle de 2012. Les opposants à la réforme [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] seront tentés [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] de plus sur une alternance imaginable - Martine Aubry, la première secrétaire du , a déjà promis de rétablir la retraite à 60 ans - que sur un combat syndical voué à l'échec.

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