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Il faut que le secrétaire au Trésor du président des Etats-Unis n'a pas ménagé ses h?tes. La "division" des Européens fait "un risque catastrophique" à l'économie mondiale, a-t-il jugé. Il leur faut "agir de fa?on décisive et d'une seule voix", a développé le Trésor américain dans un communiqué, à l'exemple des grandes banques centrales, qui ont uni leurs forces pour les banques européennes jeudi.
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] réservés du Monde.fr en
M. Geithner a demandé aux Européens de la main à la poche plus vite et de manière plus ambitieuse afin d'éviter une faillite de l'Etat grec et une expansion de la crise de la dette souveraine au sein de la zone euro. Il les a aussi sommés de une croissance européenne qui pourrait être "virtuellement à l'arrêt" d'ici à la fin de l'année.
A Washington, on redoute de la [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] faillite d'un Etat européen ou d'une ou plusieurs grandes banques surexposées à des obligations d'Etats "à risque" (l' en particulier) se répercuter sur un système financier américain plus exposé aux difficultés du Vieux Continent que l'on ne veut bien l'. M. Geithner a exhorté les Européens à se "plus agressifs pour leur crise de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] la dette souveraine", explique le Trésor américain.
Pour l'heure, les Européens continuent de sur le sauvetage de la . A propos de la prochaine tranche d'aide à Athènes, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] il a été confirmé vendredi qu'aucune décision ne sera prise avant la mi-octobre. La mise sur pied du second plan d' n'est pas plus simple. Les Dix-Sept ne sont pas parvenus à régler la question douloureuse des garanties exigées par la . Par ailleurs, la participation du secteur privé n'est pas encore au niveau des attentes : elle tournerait autour de 75 %, loin des 90 % espérés.
L'accueil a été glacial, les échanges pour le moins vifs. Timothy Geithner, qui participait à la rencontre, vendredi 16 septembre à Wroclaw (), entre les 17 membres de l'Eurogroupe, ne s'est pas senti en terrain conquis.
La réunion, dit-on à Washington, avait été préparée : MM. Obama et Geithner avaient appelé leurs [url=http://www.weilikx.com/viewthread.php?tid=19390&pid=20944&page=1&extra=page%3D1#pid20944]hollister france Reconnu coupable, lex-PDG de WorldCom risque de finir sa vie en[/url] principaux homologues. Mais, avant même sa tenue, des officiels européens s'étaient agacés de l'invitation surprise du dirigeant américain par la Pologne, un pays non membre de la zone euro.
"Vos défis, en , tiennent prioritairement à votre capacité à gérer la [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] crise financièrement, vous n'avez qu'à décider de le faire", a asséné M. Geithner. "Pas possible", a tranché Jean-Claude Junker, président de l'Eurogroupe, "nous n'avons dans la zone euro aucune marge de manoeuvre" pour "lancer un nouveau plan de soutien financier (à l'économie)".
"Nous ce que nous devons de l'argent public, alors que nos fondamentaux sont meilleurs que ceux des Etats-Unis et par ailleurs une bonne mesure n'est pas justifié", a commenté la ministre autrichienne des , Maria Fekter. "Nous ne discutons pas de l'extension du FESF avec un non-membre de la zone euro", a l?ché M. Juncker.
Avoir "les poches profondes" On craint également, outre-Atlantique, qu'une stagnation économique européenne obère plus encore la capacité américaine de ses propres handicaps. "Plus vous agissez tardivement, plus vous avez à et plus c'est douloureux", avait jugé Robert Zoellick, président de la Banque mondiale, mercredi.
Réponse : c'est non sur toute la ligne. Les Européens refusent à ce stade d' la force de frappe du Fonds européen de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] stabilité financière (FESF) de 440 milliards d'euros dont ils sont dotés pour au secours des Etats endettés et de leurs banques en péril. Pas question non plus de une relance du type de celle que devrait le président Obama, lundi, où une résorption des déficits publics s'accompagne d'un plan de soutien à [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] l'.
Pourtant, le patron de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, venait lui aussi d' les Européens à "les poches profondes" pour éviter une [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] extension de la crise par le biais du secteur bancaire, dès lors que le FESF sera en mesure de recapitaliser les établissements les plus exposés aux dettes souveraines des pays en détresse. Un avis partagé par une majorité plus ou [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] moins silencieuse d'Etats, dont la France - mais pas par l'.
Et dès son ouverture, plusieurs ministres ont insisté pour ne pas des [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] seuls problèmes de la [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350246077266&ssPageName=STRK:MESE:IT]jordan pas cher Litalien Ferr[/url] zone euro, mais aussi de ceux de l'Amérique surendettée.
Quand M. Geithner a suggéré d' l'effort financier pour le risque systémique, le grand argentier allemand, Wolfgang Schaüble, lui a rétorqué que ce n'est "pas [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] faisable avec de l'argent public"... à [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350296583336&ssPageName=STRK:MESE:IT]www.achbanker.com/home.php Le[/url] moins que les Etats-Unis ne soutiennent la taxe sur les transactions financières que les Européens ambitionnent d'. Proposition aussit?t rejetée par l'Américain.