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En décembre 2008, la salariée, de retour après cinq années d'un congé maternité suivi d'un congé parental, avait annoncé son intention de son foulard durant son travail. Ce qu'avait refusé Natalia Baleato, directrice de la crèche. Le règlement intérieur prévoyait une obligation de "neutralité philosophique, et confessionnelle", une notion trop vague pour les avocats [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] de Mme [url=http://393878.com/home.php?mod=space&uid=185749][/url] Afif, mais essentielle pour cette directrice, qui dit être confrontée depuis le début des années 2000 "à une montée des revendications religieuses". Or, pour l'un des conseils de Mme Afif, Me Michel Henry, "un règlement intérieur ne peut pas en échec l'exercice d'une liberté fondamentale, la liberté religieuse".
La cour d'appel de Versailles avait confirmé la décision en octobre 2011, estimant que les enfants accueillis dans cette crèche privée "compte tenu de leur jeune ?ge, n'ont pas à être confrontés à des manifestations ostentatoires d'appartenance religieuse" et que le licenciement "ne présente pas de caractère discriminatoire".
, une crèche privée des Yvelines qui avait licencié [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] une employée en 2008, au retour d'un congé parental, parce qu'elle refusait [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] d'?ter son foulard islamique. L'affaire, très médiatisée, avait créé [url=http://info4disasters.org/#comment-30510]Double Or Triple Your Productivity In Minutes[/url] une polémique nationale, mobilisant des défenseurs d'une stricte la?cité, de , alors député PS de l'Essonne, à la philosophe , marraine de la crèche.
Fondée en 1991, cette crèche associative est née de la volonté d'une poignée de femmes, surtout musulmanes, du quartier de la Noé, rendu célèbre par le film de La Haine. Elle est ouverte vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] ce qui permet d' notamment les enfants de mères [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] seules, travaillant de nuit ou en horaires décalés.
"MONT?E DES REVENDICATIONS RELIGIEUSES"
En face, Baby Loup se pose en "entreprise à tendance la?que" et défend "une vision anticommunautariste qui interdirait les signes ostentatoires religieux dans une [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] crèche, comme c'est le cas dans l'école publique", a expliqué Me , l'un [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] des avocats. Cette affaire avait créé des remous au sein de la é de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde), également saisie par la salariée licenciée. L'institution [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] lui avait d'abord apporté son soutien, mais, en octobre 2010, sa nouvelle présidente, , avait pris position en faveur de Baby Loup.
Lors de l'audience devant la chambre sociale de la Cour de cassation, le 12 février, l'avocat [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey sito ufficiale[/url] général a préconisé le rejet du pourvoi de . L'ex-employée de cette [url=http://luchenxuan.com/home.php?mod=space&uid=194194][/url] crèche associative située dans un quartier sensible [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) a été déboutée à [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] deux reprises par la . D'abord, le conseil de prud'hommes de Mantes-la-Jolie a jugé en décembre 2010 qu'elle avait fait preuve d'"insubordination caractérisée et répétée", ce qui a justifié son licenciement pour "faute grave", le 19 [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie pas cher[/url] décembre 2008.