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Quel [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] que soit le vainqueur des élections législatives grecques, dimanche 17 juin – s'il y en a un –, les Européens s'attendent à des lendemains électoraux houleux. Une réunion téléphonique des ministres des pourrait se sit?t les résultats connus, dans la nuit de dimanche à lundi, afin de au plus urgent. Les dirigeants européens redoutent en effet une panique bancaire et un retrait massif des capitaux dès lundi, qui pourraient de à terre les établissements financiers grecs.
L'union monétaire sait qu'elle n'échappera pas à des discussions sur une renégociation du Mémorandum, c'est-à-dire le plan d'assainissement imposé par la "tro?ka" des bailleurs de fonds d'Athènes (Commission et Banque centrale européennes, Fonds monétaire ) en échange de leur assistance financière (240 milliards d'euros à ce jour, dont 130 au du deuxième plan d').
Pour sa part, le président de Nouvelle Démocratie, , ne réclame pas la suppression du Mémorandum. Mais il demande des aménagements avec des baisses d'imp?ts et une hausse des prestations sociales (rétablissement des petites retraites à leur niveau de 2009, extension des allocations ch?mage, d'un à deux ans). Le parti de droite pr?ne une baisse de la TVA et des (imp?t sur les s, fixé à 15 %, baisse de la plus haute tranche d'imposition de 45 % à 32 %). Il milite aussi [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] pour l'application en quatre ans, au lieu de deux, des mesures de réductions des dépenses publiques et pour la reprise [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] des investissements publics.
"Je désire réaffirmer le souhait, et nous en avons parlé avec M. Hollande, qu'Athènes reste dans l'euro et respecte ses engagements", a déclaré , le président du conseil italien, à l'issue d'un entretien avec le chef de l'Etat fran?ais, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] jeudi 14 juin à Rome. "La Grèce restera dans l'Europe et dans l'euro. Une sortie de l'euro serait une catastrophe qu'on veut éviter", affirme M. Stathakis.
La zone euro est divisée sur la réponse à à la future coalition grecque, quelle qu'elle soit. Plusieurs pays du nord de l'Europe – l', les et la martèlent que les engagements pris doivent être tenus – pourraient être tentés d' le plan d'aide à Athènes.
Une décision qui entra?nerait très vite, pendant l'été, la faillite du pays et sa sortie précipitée de la zone euro, avec de forts risques de contagion dans les autres pays périphériques.
RISQUE DE FAILLITE ET DE CONTAGION
Il sera difficile à l'Europe de ne pas de concessions. Si M. Samaras, en cas de victoire, essuie des refus brutaux [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] de Bruxelles et se trouve dans l'obligation d' de nouvelles mesures de rigueur, il se heurtera à une vive opposition dans la rue, mobilisée par le Syriza qui sortira de toute fa?on renforcé des élections. Et le pays risque de vraiment ingouvernable. Une victoire du Syriza constituerait, elle, un vote de défiance à l'égard des politiques d'austérité, auquel l'Europe ne pourra sourde.
"C'est une certitude, le deuxième plan d'aide devra être revu, car il est déjà [url=http://s-pack-system.co.jp/cgi-def/admin/C-002/cgi/visit/main.pl?PAGE_NUM=1]isabel marant pas cher Some M[/url] sorti des rails en raison de la crise ", constate un diplomate fran?ais. Certains responsables se préparent même à une rallonge à Athènes afin d'alléger [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] un peu les contraintes qui pèsent sur la grecque. "Le mémorandum ne doit pas être remis en cause [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] ; c'est une question de crédibilité pour l'ensemble de l'union monétaire", dit un dirigeant allemand. Mais [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] "cela peut s' de mesures pour la croissance", concède-t-on à Berlin.
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La coalition de la gauche radicale (Syriza) a fait campagne sur la dénonciation du Mémorandum. Mais, ces derniers jours, elle a quelque peu atténué son discours : "Nous irons à Bruxelles pour négocier, explique , l'un des responsables du programme économique du parti. Nous [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] dirons à nos partenaires qu'il [url=http://www.weithink.net/read.php?tid=27571&ds=1]tiffany En voiture[/url] faut une solution pour notre dette soutenable." Et de : "Le prochain sommet européen devra se par un message qui rassurera tout le monde, l', les marchés et la Grèce. Les Européens ne peuvent s' à un Mémorandum qui est mort, parce qu'il ne marche pas et qu'il est rejeté par les Grecs. Nous comprenons [url=http://www.achbanker.com/homes.php]www.achbanker.com/homes.php[/url] qu'il faille la pression sur la , mais il faut en place un plan pour l'économie de la récession."
Le Syriza veut les plus bas salaires et l'allocation-ch?mage, qui viennent d'être baissés de 20 [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] %. Le parti veut aussi [url=http://bbs.index-index.com/thread-40321-1-1.html]louboutin pas cher How To Get A Sexual Master Hotness Guaranteed[/url] un niveau de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] dépenses publiques à 43 % du produit intérieur brut (PIB) (la "tro?ka" exige un ratio de 36 %) et "l'investissement public qui a été réduit à zéro".