www.theplague.fora.pl

clkelyqld2

Six, que ? L'idée d'une politique de change de l'euro qui surplomberait la politique monétaire [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] est un vieux fantasme fran?ais auquel l' a tordu le cou dès le premier jour : la primauté de l'objectif interne sur l'objectif externe est constitutive [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] de l'euro.
en tête, s'alarment [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] de la remontée de l'euro. Leurs homologues allemands rétorquent qu'il n'est pas surévalué. Qui a raison ? L'affaire est assez compliquée pour mériter une réponse en plusieurs temps.
L'accroissement de la taille de son bilan ne doit pas : il ne vise pas, comme pour la Fed, à l'économie, mais à la défaillance du marché interbancaire. En termes techniques, la BCE mène une politique de liquidité [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] hétérodoxe mais sa politique monétaire reste plut?t orthodoxe.
Deux, quelle est la tendance ? Jusqu'aux déclarations du président de la Banque centrale européenne (BCE) , le 7 février ( la "citation" ci-dessous), l'appréciation était nette : en juillet 2012, l'euro était à 1,20 dollar.
VIEUX FANTASME FRAN?AIS
Le vrai espoir est d'abord que la BCE prenne en compte le change dans son appréciation des risques économiques. Elle peut encore les taux, et Mario Draghi ne l'a pas exclu. Il est ensuite que les banques centrales s'accordent sur le degré acceptable de différenciation de leurs politiques, mais restent suffisamment cohérentes entre elles pour ne pas de place à une guerre des monnaies.
Et la semaine dernière , qui prendra en juillet les rênes de la , a déclaré que les concepts actuels de monétaire méritaient un débat. Aucune de ces décisions ne rompt formellement avec le primat de la stabilité des prix qui domine depuis les années 1980, mais toutes reflètent la montée d'autres préoccupations et l'acceptation d'un certain risque d'inflation des prix des biens ou des actifs.
Cinq, un euro surévalué serait-il grave ? Comme beaucoup d'économies continentales, la zone euro est relativement peu ouverte : elle exporte et importe de l'ordre d'un quart de son produit intérieur brut. L'impact des variations du change est donc limité. [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Cependant c'est une économie coupée en deux, entre un Nord prospère qui tutoie le plein- et un Sud en profonde récession.
GUERRE DES MONNAIES
Le redressement s'explique en partie par le regain de confiance dont [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] bénéficie la zone euro, et le retour des capitaux qui l'avaient fuie. La sous-évaluation reflétait des anticipations d'éclatement de l'union monétaire. Ne regrettons pas qu'elle se corrige.
D'ailleurs plus l'action qu'il conduit pour préserver l'intégrité de la zone euro [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] est contestée par les faucons de la Bundesbank, plus Mario Draghi est contraint de se strict sur le front de l'inflation. D'où un risque sur le change, face à d'autres banques centrales aujourd'hui moins sourcilleuses.
C'est moins s?r. Car si elles ont su se depuis plus de vingt ans, ces [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] institutions sont toutes politiquement affaiblies. Entre [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] elles, comme au sein d'un G20 en voie de déliquescence accélérée, le ciment de la coopération internationale se délite. Là est le vrai danger.
PALLIER LA D?FAILLANCE DU MARCH? INTERBANCAIRE
En décembre 2012, la Réserve fédérale américaine (Fed) a annoncé qu'elle maintiendrait les taux d'intérêt à zéro aussi longtemps que le taux de ch?mage resterait supérieur à 6,5 %. En janvier, le premier ministre japonais, , a sommé la Banque du d' 2 % d'inflation. Il a demandé au gouverneur de lui compte trimestriellement de ses résultats.
Cela ne peut [url=http://bbs.dygsy.com/home.php?mod=space&uid=26448][/url] pas très longtemps. Or, Zsolt Darvas, de Bruegel, et Gian Maria Milesi Ferretti, du Fonds monétaire , ont l'un et l'autre montré que le redressement du Sud ne pouvait pas seulement s'opérer vis-à-vis du Nord : pour résorber leurs déficits et leur économie, l' ou l' - la France aussi - ont besoin d' davantage vers l'extérieur. Un euro à [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] 1,50 dollar mettrait ce rééquilibrage en risque.
Des déclarations du G7 ou du G20, voire des interventions concertées sur les marchés, ne peuvent être efficaces que si elles corrigent des perceptions erronées ; elles ne serviront à rien si l'anticipation de divergence des politiques monétaires est justifiée.
Quatre, la zone euro va-t-elle le prix de l'orthodoxie ? Face à la , puis à celle de l'euro, la BCE a démenti les caricatures en se montrant audacieuse. Mais si elle n'a pas hésité à de la [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] liquidité aux banques et à la fragmentation de la zone euro, elle s'est montrée plus traditionaliste en matière de stimulation macroéconomique.
Trois, y a-t-il un risque [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] de guerre des monnaies ? C'est vrai, la crise a changé les banques centrales. A l'automne 2011, la Banque nationale a fixé un plafond [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=330564537225&ssPageName=STRK:MESE:IT]hollister sale Le vote des ét[/url] au taux de change contre l'euro.
Un, que disent les chiffres ? A 1,35 dollar pour 1 euro, la monnaie européenne est encore très en dessous des 1,55 dollar du printemps 2008. Vis-à-vis des vingt premiers partenaires de la zone euro, et correction faite des inflations relatives, le change est nettement plus bas qu'en 1994-1996 ou en 2006-2008. Berlin a raison : il [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4pcs-LED-Tyre-Tire-Valve-Caps-Neon-Lights-Bike-Car-New-/220639832483]hollister france Chômage le[/url] n'y a pas le feu.