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Contrairement à l'attente des salariés, la RTT n'a pas produit les [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] effets escomptés en matière de création d'emplois. Mais les syndicats ne manquent pas de que nombre d'accords "défensifs", assortis du blocage des salaires, ont été conclus dans des entreprises en difficulté pour éviter des suppressions d'emplois.
Dans les hôtels, cafés et restaurants (HCR), où le précédent accord de branche a été suspendu par le gouvernement, les négociations ont été rompues à l'issue d'une nouvelle réunion, mardi 14 octobre. Patronat et syndicats s'opposent toujours sur [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry sale[/url] les modalités [url=http://www.cjrb.cn/cjyby1t/E_GuestBook.asp]louboutin[/url] et le calendrier de la RTT dans un secteur qui peine à .
Parmi ces "compensations", les entreprises ont essentiellement obtenu des contreparties sur l'organisation du travail et l'amélioration de la productivité. Dans l', l'introduction [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] de la flexibilité avec la modulation et l'annualisation du temps de travail permet aux d'égaliser les [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] périodes d'activité, en évitant l'accumulation des heures supplémentaires.
Les premières enquêtes, réalisées en 2001, sur les [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] modifications introduites par la RTT laissaient que les conditions de travail s'étaient améliorées pour 26 % des [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] salariés - essentiellement des cadres bénéficiant de forfaits-jours -, qu'elles s'étaient dégradées pour 28 % d'entre eux, notamment les ouvriers et les employés, et qu'elles n'avaient rien changé pour 46 %. Selon la Dares, ce sont, en fait, les difficultés d'adaptation au changement et l'intensification des charges qui renforcent les appréciations négatives.
Dans une autre enquête, en août 2003, consacrée à la durée du travail et à la flexibilité en 2001, la Dares relevait le recours plus élevé aux heures supplémentaires dans certains secteurs comme la construction, les industries agroalimentaires, les biens d'équipement, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] le commerce et les . Mais avec 60 heures par [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] salarié et par an, le plafond maximum des 130 heures de la loi Aubry et celui des 180 heures autorisé par la loi Fillon étaient loin d'être [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour[/url] atteints.
L'accord signé chez Renault inclut également une disposition sur la formation sous la forme d'un compte épargne, pris pour partie sur la RTT, qui a représenté en 2002 l'équivalent de 849 600 heures. Ailleurs, les discussions ont été rudes sur les temps de pause ou d'habillage, désormais exclus du temps de travail.
Si un grand nombre d'entreprises dénoncent toujours la mise en place d'un dispositif adopté "sous la contrainte", d'autres, en revanche, ont profité des négociations avec les syndicats pour l'organisation et les conditions de travail. Ces discussions ont abouti à un [url=http://www.ktbruce.co.uk/hollisteroutlet.php]hollister[/url] "équilibre" que peu de responsables de ressources humaines sont prêts à en chantier. "La réalité de la réduction du temps de travail est hétérogène et complexe. Elle a abouti à des compromis variables difficiles à en cause par les entreprises", souligne Marcel Grignard, secré [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] général de la fédération de la métallurgie de la CFDT. Le président du Medef, Ernest-Antoine Seillière, reconnaît que la remise en cause sera difficile, puisqu'il préconise la relance des négociations directement dans les entreprises : "Dans la négociation de branche, où les syndicats sont représentés par des permanents puissants et bien argumentés, il n'est pas facile de sur une disposition qui a été prénégociée sans de compensations lourdes", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse, mardi 14 octobre.
PAUSES SUPPRIMÉES
Selon les derniers travaux de la Dares, l'organisme d'études du ministère du travail, publiés en septembre sur les conditions d' au deuxième trimestre, le paysage est désormais figé. La durée du travail s'établit à 35,6 heures, contre 35,7 heures un an auparavant. Au 30 juin, près de 80 % des salariés à temps complet des entreprises de plus de 10 personnes travaillent moins de 36 heures par semaine. Mais, relève [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi%3Fmode%3Dview%26no%3D1118664%26res%3D1%26page%3D400]louboutin LONU en première li[/url] l'étude, "le salarié d'une entreprise de 10 à 19 salariés travaille près de deux heures de plus que son homologue d'une entreprise de plus de 500".
Conclus dans une période de croissance, les accords sur la réduction de temps de travail doivent s' à une conjoncture dégradée. Par-delà la polémique "idéologique" et financière que suscite cette mesure, il devrait aussi à la mission d'information mise en place par le gouvernement de s' à décrire cette nouvelle réalité.
, les branches professionnelles et syndicales. Quatre [url=http://www.frbiz.com/products/j-37177487/ipad_cover_cgi_005.html]abercrombie soldes Jacques Ch[/url] ans après l'adoption des premiers accords, la remise en cause de cette mesure controversée ne figure pas parmi leurs priorités, même si certains dirigeants attendent du gouvernement des assouplissements avec une impatience non dissimulée.
Les modifications apportées par la loi Fillon de janvier 2003 ont, en réalité, été peu suivies d'effet. Seule la branche professionnelle du commerce et de la distribution a relancé, dès le mois de janvier, les négociations qui ont abouti à la signature d'un avenant portant de 130 heures à 180 heures le contingent d'heures supplémentaires autorisé par la loi. Cet accord, signé avec la seule CFTC, est encore en attente d'extension à l'ensemble des 650 000 salariés du secteur.
En revanche, le principal effet de la loi Fillon aura été de le processus de réduction du temps de travail dans les entreprises de moins de 10 personnes, accentuant ainsi les disparités entre les [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] salariés. Dans la plupart d'entre elles, la durée du travail reste fixée à 39 heures, sans les heures supplémentaires.