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Ces atermoiements ne sont pas du go?t des Polonais. "Nous ne pouvons nous de nous rel?cher : le plus t?t sera le mieux", conseille depuis Rostowski, le ministre des finances : "La Pologne considère que la stabilité de la zone euro [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] est un intérêt absolument vital pour elle." Faute de quoi, c'est sa monnaie, le zloty, et ses conditions d'emprunts sur les marchés qui deviennent très volatiles, en dépit d'une économie en pleine forme.
La a martelé samedi qu'elle exigeait des garanties sur le patrimoine public de la Grèce avant d' de nouveaux prêts. Une condition inscrite dans le programme de la coalition au depuis peu à Helsinki, mais délicate à , car elle suscite la vive opposition du gouvernement grec. "L'idée est maintenant [url=http://bedecpaints.co.uk/forum/index.php?p=/discussion/47432/abercrombie-lepargne-salariale-progresse-toujours]abercrombie Lépargne salariale progresse toujours[/url] de le second programme avant la mi-septembre, au moment du déblocage d'une nouvelle tranche du plan en cours", indique un participant à .
L'offensive des dirigeants polonais tranche avec le silence en général poli des Etats non membres de [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie pas cher[/url] l'euro au sujet des déboires de l'Union monétaire. Le évite de les commentaires officiels, tout en partageant, en privé, les mêmes préoccupations que la Pologne, une de ses plus fidèles alliées au sein de l'. Le premier ministre Tory, David Cameron, avait accepté d' son pays au sauvetage de l'Irlande, où les banques britanniques sont très exposées. Mais, afin de ménager un électorat eurosceptique, il refuse de à tout nouvel effort en faveur de la [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] Grèce, sinon par le biais du FMI.
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Cependant, la zone euro ne sera sans doute pas en mesure de ce mois-ci le programme d'assistance supplémentaire réclamé par le [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] FMI pour son intervention. Un compromis définitif sur la nouvelle enveloppe n'est pas espéré avant les prochaines semaines, selon le communiqué agréé samedi par les ministres des finances de l'euro. Les modalités et l'ampleur de la participation du secteur privé, exigé par l', suscitent toujours de laborieuses négociations. D'autant que l'agence [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] de notation Standard & Poor's a estimé, lundi 4 juillet, que les scénarios imaginés par les créanciers pour à ce nouveau plan "conduiraient probablement à un défaut de paiement [url=http://www.jinanpet.com/read.php?tid=14918&ds=1]abercrombie En Irlande, ménages et entreprises dépriment, la croissance est at[/url] selon nos critères".
Face à la crise, la Pologne exige aussi, au nom de la présidence tournante, de aux réunions de l'Eurogroupe, l'instance qui rassemble les seuls ministres des finances de la zone euro. "Ce n'est pas une question de prestige, mais d'échange d'informations", [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] plaide Donald Tusk. Très insistant lui aussi [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] sur [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] ce point, M. Rostowski a été invité à la dernière minute samedi à à la conférence téléphonique organisée par [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Jean-Claude Juncker, le président de l'Eurogroupe. Une grande première pour un pays candidat à l'euro, dont l'ardeur à l'Union monétaire est refroidie par l'interminable crise grecque. [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel pas cher[/url] M. Tusk, en dépit d'un discours très pro-européen, se garde d' la moindre date d'adhésion à l'euro, et exige même, avant de le grand saut, que l'Union monétaire se dote d'un dispositif la protégeant à l' de telles crises.
Les difficultés de la zone euro à la crise de la dette inquiètent ses plus proches partenaires, les pays européens restés en dehors de l'Union monétaire. Tandis qu'un second plan d' à la ne devrait pas être finalisé avant septembre, la a exprimé tout [url=http://yunchanmama.com/forum.php?mod=viewthread&tid=188123]hollister france Le co t du travail nexplique pas tout[/url] haut leurs préoccupations sur la gestion de la crise, à l'occasion du début de sa présidence tournante des Vingt-Sept, vendredi 1er juillet. "Il est extrêmement important d' la stabilité de l'euro, a déclaré ce jour-là le premier ministre Donald Tusk à Varsovie. La solidarité n'est pas un slogan, elle doit se dans les faits." Le premier ministre de droit a mis en cause au passage, dans une allusion à peine voilée à Angela Merkel, et , "l'euroscepticisme" de certains dirigeants européens obsédés par leurs "intérêts nationaux égo?stes".
Les pays de l'euro sont certes sur le point d'éviter in extremis une faillite de la Grèce cet été. Samedi 2 juillet au téléphone, leurs ministres des ont approuvé le versement de la tranche d'aide promise à Athènes - 12 milliards d'euros, cofinancés par le Fonds monétaire (FMI) -, en échange [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] d'un programme drastique d'économies et de privatisations. Le FMI devrait, à moins d'une surprise, une décision similaire lors du premier conseil d'administration présidé par Christine Lagarde, vendredi 8 juillet.
M. Rostowski se réjouit de l'implication du FMI dans les programmes d'aide, mais il pointe le manque d'expérience de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] la zone euro dans ce domaine. Les plans activés en faveur de la Grèce, de l', ou du "ont besoin d'être redessinés" selon lui, car ils sont trop focalisés sur la réduction de la dette publique, au risque d' ces Etats dans la récession, ou une croissance atone.