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En Sa?ne-et-Loire, les cambriolages correspondent, comme souvent en zone rurale, à deux types, explique le préfet, Fran?ois Philizot : "Une délinquance professionnelle, avec des bandes très bien organisées, très mobiles, qui s'intéresse aux vols à forte valeur ajoutée, le long des grands axes ; et beaucoup de petite délinquance de proximité, qui correspond à une stratégie de survie." Et les deux sont en augmentation. Dans un département rural du de la France, un commissaire estime, tout simplement, que, sous l'effet [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] de la hausse du prix de l'or, "la rentabilité des cambriolages est en train de cro?tre".
Les cambriolages se concentrent donc sur quelques objectifs précis. Un responsable policier de la grande couronne parisienne dresse ainsi une typologie des fric-frac, qui ont connu jusqu'à 40 % d'augmentation au début de l'année dans son département : "Il a lieu entre 9 [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] heures et 17 heures, dans une résidence pavillonnaire, jamais à plus de 2 km d'une gare RER. Le butin ? Des bijoux, surtout, et, parfois, des consoles de ." Ici, sur les sept premiers mois de l'année, près de 25 % des mis en [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] cause viennent de .
Et les malfaiteurs vont vers les zones rurales car ils vont vers "les cibles les plus faciles", [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour jackets[/url] comme [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] l'explique M. Soullez : une faible densité policière, des maisons peu protégées. Dans la Creuse, la préfecture met également en cause... le réseau routier, et la mise en deux fois deux voies de la nationale 145, qui traverse le département d'est en ouest, effective depuis janvier. Dans d'autres départements, les autorités sont plus déconcertées et vont jusqu'à évoquer la météo clémente du printemps : "Les gens ont laissé leurs fenêtres ouvertes..."
Pour Christophe Soullez, de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), chargé depuis 2004 des statistiques de la délinquance, il s'agit d'une "tendance de fond". Dès janvier, l'Observatoire signalait une hausse de 9 % des vols violents sans armes (+ 13 % sur des femmes sur la voie publique) en 2010. C?té cambriolages, l'évolution est plus récente, même si la hausse pour les résidences principales avait déjà atteint 5,1 % en 2010...
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Principalement touchés, les départements ruraux (Alpes-de-Haute-Provence, Ariège, Creuse, Lot...) subissent une hausse des cambriolages qui peut ou dépasser les 60 % si l'on compare la période allant de septembre 2010 à ao?t 2011 avec la période septembre 2009 à ao?t 2010.
Il [url=http://npk-gardening.com/cgi-def/admin/C-002/bbs/visit/main.pl?PAGE_NUM=1%20[PLM]louboutin Salaires des patron[/url] existe un point commun à tous ces faits de délinquance : l'or (ou tout métal dont le cours a explosé ces derniers mois). Les vols violents sans armes sur des femmes ? Souvent des "arrachages", comme les appellent les policiers, pour un collier ou un autre bijou en or, qui sera facilement revendu [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] ensuite. M. Soullez le confirme : "Tout ce qui est matière première [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] est une nouvelle cible des délinquants."
Il n'en reste pas moins que les cambriolages sont affichés, depuis 2007, comme une priorité du ministère de l'intérieur. Des opérations "tranquillité vacances" à la tentative de généralisation des "voisins vigilants" (Le [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] Monde du 5 ao?t), les ministres successifs, et notamment Brice Hortefeux, ont multiplié les actions. En vain.
Première raison souvent invoquée, l'effet de palier : après plusieurs années de baisse, il para?t difficile de encore. Mais si l'argument vaut pour le ralentissement de la baisse de la délinquance générale observé depuis 2009, il est plus difficilement recevable pour des hausses aussi ciblées et importantes. Car dans les zones plus urbaines, ce sont les violences physiques crapuleuses qui repartent à la hausse, c'est-à-dire les vols à main , les vols avec violences et les règlements de comptes : + 19,5 % dans les Bouches-du-Rh?ne, + 10,7 % dans l'Hérault, [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] + 14,3 % dans le Val-de-Marne.
), quelques chiffres emblématiques se sont brutalement aggravés. Le ministère de l'intérieur souligne, de son c?té, que "le nombre global d'infractions relevées par l'activité des demeure en [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] forte progression (+6,8 % depuis janvier), signe de la détermination des forces de sécurité dans la lutte contre la délinquance".
Une augmentation notable, même s'il convient de les précautions statistiques habituelles, notamment concernant la faiblesse du nombre de cambriolages par an dans ces zones : autour de 200 dans la [url=http://www.mappingtheweb.com/2008/06/10/wordpress-cms/#comment-662099]A Primer On A Great Area Of North Carolina[/url] Creuse, le département le moins "criminogène" de France, par exemple. Dans ces zones, une ou deux équipes de malfaiteurs très efficaces [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour[/url] peuvent de fa?on significative les statistiques. A l'inverse, il suffit, comme dans la Creuse, de l'arrestation, en ao?t, à Guéret, d'un receleur - 350 objets volés ont été retrouvés lors de la perquisition - pour les cambrioleurs d'un débouché. Et pour s' d'un mois de septembre plus calme.
Pour face, gendarmes et policiers ont multiplié les rondes, les contr?les routiers ou les opérations [url=http://ilms-saga.jp/cgi-def/admin/C-002/notice-board/visit/main.pl?PAGE_NUM=1]ultram]moncler sito ufficiale Grand [/url] dans les gares de banlieue parisienne et ont renforcé leur coopération. Souvent avec succès. En Sa?ne-et-Loire, le préfet affiche pas moins de 250 actions de terrain de la gendarmerie, dont 50 en liaison avec la , depuis janvier. Mais un responsable prévient : "On peut le paquet quelques semaines, mais pas en permanence. C'est une question de moyens."