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Les créanciers du pays, à par l'UE et l', ont dit clairement ces derniers jours que si la Grèce n'honorait pas les engagements qu'elle a pris en échange des prêts de sauvetage [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] qui [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] lui ont été accordés, ils cesseraient de des fonds, et [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] qu'il faudrait une sortie de la zone euro. Bruxelles, dans ses dernières prévisions économiques, s'attend pour la Grèce à une récession [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] de 4,7 % cette année et une croissance nulle l'an prochain.
"Trois partis se sont accordés sur un plan pour un gouvernement de deux ans afin d' l'accord sur le prêt (de sauvetage de la ). Ils [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] ont 168 députés au nouveau Parlement, ils ont la majorité", a déclaré M. Tsipras. Mais Dimar a aussit?t démenti cette annonce : "C'est une honte... c'est un mensonge diffamatoire", a déclaré le parti dans un communiqué.
Les derniers sondages montrent qu'une majorité de Grecs veulent une solution. Ils sont 72 %, selon un sondage de l'institut Kappa publié dimanche par l'hebdomadaire To Vima, à que les partis doivent coopérer "à tout prix", et 78 % à un gouvernement qui fasse "tout ce qu'il faut" pour que la Grèce reste dans la zone euro.
Le président a re?u 90 minutes en fin de matinée [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] les dirigeants de la droite (Nouvelle Démocratie), [url=http://www.welcometorealsworld.com/activity/p/235976/]woolrich bologna Chronologie des médias, le dégel[/url] du parti de gauche radical anti-austérité Syriza et les socialistes du Pasok pour de les de un gouvernement de coalition. Mais cette première réunion a abouti à "une impasse", selon le leader du Pasok, Evangelos Vénizélos, qui a dit encore toutefois "un optimisme limité", avec l'espoir d'un éventuel accord avec le petit parti de gauche pro-européen Dimar.
LE SPECTRE D'UNE SORTIE DE L'EURO
Mais paradoxalement, selon ce même sondage, en cas de nouvelles élections, ce serait Syriza qui arriverait en tête, avec 20,5% des voix, contre 18,1% aux conservateurs et 12,2% aux socialistes du Pasok.
Dans l'après-midi, le président devait l'un après l'autre les dirigeants des quatre autres partis envoyés [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] au Parlement par le scrutin de dimanche. D'abord les épendants (droite nationaliste, qui ont obtenu 10,6 % des voix, soit 33 sièges), puis les communistes [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] (8,48 %, 26 sièges), les néonazis (6,97 %, 21 sièges) et enfin Dimar (6,1 %, 19 sièges).
Les trois principaux partis - le Pasok (socialiste), la Nouvelle Démocratie (conservateur) et Syrisa (Gauche radicale) - sont arrivés en tête des législatives du 6 mai, mais aucun n'a obtenu une majorité suffisante et leurs trois leaders avaient jusqu'ici tour à tour échoué à b?tir une coalition viable. Une solution doit impérativement être trouvée d'ici jeudi, date prévue de la première séance du nouveau parlement, faute [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] de quoi de nouvelles élections [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] seront convoquées pour juin, faisant le spectre d'une faillite du pays ou d'une sortie de l'euro.
Le leader de Syriza, , a pour sa part affirmé que Pasok, ND et [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] un troisième parti, vraisemblablement le petit parti Gauche démocratique pro-européen Dimar, s'étaient accordés [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] sur une coalition chargée d' le programme [url=http://feztag.com/profile.php?user=Nogical3p53&v=comments]La Fed sattaque au risque systémique des banques américaines[/url] d'austérité exigé par les créanciers contre une nouvelle et l'effacement d'une partie de la colossale dette publique grecque.
"UNE HONTE... UN MENSONGE DIFFAMATOIRE"
78 % DES GRECS VEULENT DANS L'EURO
De son c?té, le leader conservateur de la Nouvelle Démocratie (ND), , a assuré que Syriza avait à nouveau refusé de à, et même de simplement , un gouvernement de coalition, quand bien même celui-ci s'engagerait à "renégocier" l'accord avec les créanciers du pays, qui ont exigé une sévère cure d'austérité.
la constitution d'un gouvernement de coalition pour éviter de nouvelles législatives qui font une faillite du pays et sa sortie de l'euro. A l'issue de la première réunion du jour, les trois principaux partis faisaient des déclarations contradictoires, alimentant encore [url=http://www1.kcn.ne.jp/~omizo/cgi-bin/huyu1/anthologys.cgi?action=html2&key=20100915233425]giuseppe zanotti pas cher Bea[/url] davantage la confusion qui règne sur la scène grècque.