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woolrich outlet Hacker la société de sur

 
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clkelyqld2
Top Gun



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PostPosted: Tue 2:34, 08 Oct 2013    Post subject: woolrich outlet Hacker la société de sur

La majeure partie des hackers passent leur vie à . Un certain nombre d'entre eux, de plus en plus nombreux, passe aussi de plus en plus de temps, et d'énergie, à , et , une société de l'information qui garantirait nos libertés. Et force est de que, la majeure partie du temps, ils trouvent toujours moult moyens de dénoncer et les projets de loi répressifs, de des parades aux technologies [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] de surveillance ou de privation de droits, et donc, in fine, de la possibilité d' nos libertés.
Au-delà de la faisabilité technologique de ce genre de hacks, l'objectif est bien évidemment politique, et n'a probablement jamais été aussi bien formulé que par , le "père inspiré" de la loi Informatique et libertés, vice-président de la de 1981 à l'an 2000, poste qu'il quitta pour la présidence de l'Assemblée Nationale. Evoquant, en 1980, le projet du ministère de l'Intérieur de traitement automatisé des cartes nationales d'identité et, dans la foulée, les titres de séjour des étrangers, Raymond Forni que "Rien n'a jamais été réalisé d'approchant en France si ce n'est au détriment des Juifs pendant la dernière guerre" et qui, quelques années plus tard, se fit encore plus explicite :
Les "vieux cons", ce sont ceux qui ont peur de cette forme de libération et qui, tout en ayant peur de Facebook en particulier et de l'internet en général, se "fichent" par contre d'être vidéosurveillés, dotés de puces RFiD, ou de leurs fichiers interconnectés, puisqu'ils n'ont "rien à cacher".
D'une part parce que le problème, ce n'est pas l'internet, mais ce que peuvent y et y écrire (ou pas) les internautes. D'autre part, parce que s'il y a bien montée en puissance de la société de surveillance, l'internet y appara?t non pas tant comme une partie du problème que comme une partie de la solution.
"Quand on a été éduqué pour ne la parole qu'après l'accord de la ma?tresse, une fois qu'on l'a d?ment demandée en levant [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] la main. Quand on est élevé pour se devant la télé, puis pour "donner sa voix" à un représentant et se ensuite. Quand on a été formé à ou écouter les avis des penseurs accrédités par les médias classiques sans leur répondre autrement que devant la machine à café, il est bien difficile de se à l'idée qu'on peut (qu'on doit ?) s' librement, sans censure préalable, devant le public le plus large qui soit".
Sur le Net, le problème, c'est la vie publique, comme le rappelait , pionnier de l'internet en France et auteur des mémorables Confessions d'un voleur, dans un [url=http://sibsolidarnost.ru/index.php?option=com_xijc&view=captcha]louboutin Actions In Cleaning Soap Creating[/url] article intitulé , pour qui ce "pseudo droit n'est qu'une variation du manque d'éducation du public à ce véritable droit qu'il a récemment acquis : le droit à la liberté d'expression".
"L'identité n'est pas une donnée fixe, donnée une fois pour toutes, qu'il s'agirait simplement de et protéger. C'est une construction permanente, multiformes, qui marie des éléments extérieurs et intérieurs à l'individu, objectifs et subjectifs, pérennes et éphémères. C'est surtout une construction sociale : l'identité se définit dans la relation aux autres, comme l'explique par exemple .
En commentaire d'un article intitulé de Martin Lessard, spécialiste des médias sociaux qui revenait sur ces adolescents qui n'hésitent pas [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] à écrire, sur le Net, n'importe quoi n'importe comment, le psychologue, psychanalyste (et geek) rappelle ainsi que "trop souvent le rappel à la règle est un rappel à l'ordre : tiens ta place, tiens ton rang, tu fais partie d'une minorité ("jeune", "en difficulté","peu instruit"), assieds toi et regarde les puissants".
Les hackers ont moult fois démontré qu'il était possible de hacker ce qui repose sur des systèmes informatiques et composants électroniques (puces RFiD, systèmes de vidéosurveillance ou biométriques, papiers d'identité "sécurisés", réseaux WiFi, machines à ...), et que cette surveillance "" était en fait soluble dans le "low tech", pourvu que l'on s'y penche un peu, et que l'on s'en donne les moyens.
A l'opposé, , barbue hippie grand défenseur du "copyleft" (ou "gauche d'auteur", en opposition au copyright, ou ""), et fondateur du mouvement des logiciels libres, est probablement celui qui a le plus oeuvré pour la des valeurs et de la culture du "Libre" (cf, à ce , sa nouvelle ).
A l'époque, et du fait de l'interconnexion grandissante des bases de données utilisées par l'administration, il était urgent de protéger la vie privée des citoyens. Plus de 30 ans après, au vu des développements de l'informatique en général, des technologies de surveillance en particulier, et des [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] législations sécuritaires qui s'accumulent (on en dénombre plus d'une vingtaine, depuis septembre 2001), il est encore plus urgent de se pour défendre nos libertés.
"Ce qui a été dit en public ne peut plus être effacé non seulement de la mémoire des vivants mais aussi de celle de leurs descendants, conclut Laurent Chemla. Tel [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] est le prix dont il faut de s' pour bénéficier – enfin – de la liberté d'expression. Et il est lourd, et c'est parce qu'il est lourd que cette liberté est aussi belle, aussi grande, aussi exceptionnelle".
Ainsi, le mouvement "open source" est notamment incarné par Eric S.Raymond, anarchiste de droite admirateur de Franco et grand défenseur des armes à feu, et auteur de plusieurs des textes de référence de la et des valeurs , tels que La cathédrale et le bazar, ou .
Or, si l'on s'exprime publiquement, c'est pour être entendu, pas pour être oublié ! Cela nécessite un certain sens des responsabilités : les personnes publiques (politiques, "people", journalistes...) savent tous que les mots ont non seulement un sens, mais également du poids, que la parole publique peut , et ils apprennent donc à avec, à leurs propos, de sorte de les .
On entend souvent qu'il serait urgent de enfants et adolescents aux "dangers" de l'internet. A contrario, en m'intéressant à ces "petits cons" de notre société de l'information, j'ai découvert que nous avions probablement autant à d'eux qu'ils n'ont à de nous.
Alors que le "monde réel" est de plus en plus interconnecté avec les "espaces numériques", que les technologies de surveillance et les croisements de fichiers sont promis à un très bel , il n'est pas impossible que l'on s'achemine vers un monde relevant peu ou prou d'un mix entre Big Brother, Minority Report et le de Kafka.
Leur fa?on décomplexée d' leur vie publique, et la liberté d'expression, semblable à la fa?on décomplexée qu'avaient les jeunes "libérés" des années 70 de leur vie privée, et la liberté d', pourrait bien autant de retentissement sur la société que les combats de libération sexuelle, féministe et homosexuel.
La "vie privée" forme la base de départ à de laquelle nous pouvons vers les autres, en et réfléchir à nos expériences, pour de l'avant. La vie privée ne prend son sens que lorsqu'elle forme la base... de notre vie publique ! On ne peut pas la protection de la première, de ce qui rendra la seconde riche, diverse, créative, plaisante, efficace..."
Or, aujourd'hui, ce qui compte, ce n'est plus seulement la "protection" de nos données personnelles, mais également leur "projection" : il ne s'agit plus seulement de se "protéger", mais aussi de se "projeter", et donc de "partager" certaines de nos données, et une partie de sa vie privée, afin de notre vie publique. Donne nos données, les "libérer", permet de son identité pour la avec d'autres, et cela semble pour beaucoup d'internautes plus de valeurs que de les pour soi, et s' de leur confidentialité.
"Il est scandaleux que les gens respectueux des lois soient régulièrement traitées comme si elles avaient quelque chose à ."
Généralement, il s'agit de "preuve de concept", ou (de l'anglais Proof of concept) visant à démontrer la faisabilité d'une technologie, méthode ou idée, comme lorsque les hackers du Chaos Club allemand l'empreinte digitale du ministère de l'Intérieur, afin d' le risque d'usurpation d'identité biométrique, ou lorsque leurs pairs hollandais du groupe 's Choice ont réussi à créer un "vrai-faux" passeport "sécurisé" au nom (et avec la photo) d'.
En 1978, la loi informatique et libertés fut adoptée alors que la majeure partie des "nouvelles " de surveillance n'existaient pas, pas plus que les ordinateurs personnels ou l'internet tel qu'on le conna?t aujourd'hui. Pourtant, son socle [url=http://www.hxedu.gov.cn/guestbook.asp]jordan pas[/url] a démontré sa validité, malgré les années, et son article 1 n'a rien perdu de son acuité : "L'informatique doit être au service de chaque citoyen. Elle ne doit atteinte ni à l'identité humaine, ni aux droits de l'homme, ni à la vie privée, ni aux libertés individuelles ou publiques".
Or, si l'on apprend bien aux enfants à , on leur apprend moins à s', et encore moins à être entendus. Comme le souligne Laurent Chemla, "la prise de conscience liée [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] à une telle révolution est lente à se , et il n'est pas si facile de s' un nouveau droit, et encore moins de s' des responsabilités qui vont avec" :
Mais dans la mesure où, précisément, on n'a probablement jamais autant eu peur de que depuis la montée en puissance de l'internet, il n'est pas non plus exclu que les générations qui seront au , dans quelques années, auront compris que le danger, ce n'est plus tant le totalitarisme fasciste ou communiste qu'Orwell l'avait dénoncé, mais l'utilisation, par nos démocraties, de technologies dont auraient rêvé les dictatures du siècle passé, permettant potentiellement d' bien plus loin, et de bien pire.
et en particulier, ont fait du "droit à l'oubli" l'alpha et l'oméga du débat autour de la . Mais la question, tout comme les termes du débat, a bien mal été posée.
Les hackers font peur. Pourtant, c'est à eux que l'on doit une bonne partie de l'internet et de l'informatique tels qu'on les conna?t aujourd'hui. Harcelés par les autorités, les de renseignement, en butte à certaines monopolistiques, ils ont d? à se défendre. Ce pour quoi les principaux défenseurs des libertés, sur l'internet, sont des informaticiens, qui ont compris [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] que "la loi, c'est comme le code, on peut la " hacker"".
Evoquant un "big bang" politique, et une "révolution du pouvoir" visant "la liberté du plus grand nombre, et non pas le privilège de quelques-uns", a déclaré réinstaller "les fondamentaux de la relation entre l'?tat et le citoyen" afin de "rendre le au peuple", et un terme aux dérives sécuritaires du précédent gouvernement labour (de "gauche"). Au programme :
Pourtant, sans vie privée, il n'y a pas de libertés. Or, s'il est possible (mais complexe, et difficile, dans la pratique) de contr?ler toutes les traces qu'on laisse sur l'internet, il est impossible de contr?ler toutes celles que l'on laisse, à son insu, dans les systèmes de vidéosurveillance, de biométrie, de tra?abilité par puces de radio-identification (RFiD) sans contact, dans les fichiers administratifs, sociaux, policiers, dans les bases de données de ceux qui font commerce de nos données personnelles.
Nos démocraties n'ont pas attendu l'internet pour la liberté d'expression. La différence, avec le Net, c'est que la liberté d'expression n'y relève pas tant de la possibilité de s' que de celle de enfin être entendu : [url=http://cgi.www5d.biglobe.ne.jp/~riding/aska/aska.cgi/]here]woolrich Une entreprise améri[/url] la liberté d'expression n'est plus quelque chose de virtuel, réservée aux seules personnes ayant accès aux de masse.
A contrario, le développement de l'internet nous amène également à notre rapport à la vie privée, ce que Daniel Kaplan souligne de fa?on brillante dans , le livre (paru chez FYP éditions) qu'il vient de à ces questions, et qu'il résume comme suit : "la valeur de la vie privée, c'est de nous d' une vie publique !" :
A contrario, si les "petits cons" n'ont pas forcément per?u [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] la portée politique de leur fa?on d' leur vie publique sur l'internet, ils sont soucieux de leur vie privée, sans pour autant forcément conscience du fait que ce n'est pas tant sur l'internet que dans l'espace qu'elle est le plus menacée.
LA LOI, C'EST COMME LE CODE, ON PEUT LA " HACKER "
Internet Actu
Une partie de la solution réside dans ce type de détricotage, et donc de "hack", de l'arsenal législatif [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] de cette spirale sécuritaire infernale. Une autre partie relève de la possibilité de "hacker" les technologies de cette société de surveillance, pour le libérer, ou en tout cas nous la possibilité, vitale en démocratie, d'y en toutes libertés.
La question est donc éminemment , et il serait dommage que le "droit à l'oubli" – dont il n'est question qu'au sujet de l'internet – en arrive à le [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] public "à sa place", et que l'on en revienne à l'ancien régime, du temps où, avant l'internet, seuls les puissants pouvaient être entendus par le [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] grand public.
La question, aujourd'hui, n'est plus tant celle d'un clivage entre la "gauche" et la "droite" : ainsi, en Grande-, qui est probablement la démocratie la plus (vidéo)surveillée, ce sont les partis de droite et du qui fustigent le plus la dérive sécuritaire du gouvernement travailliste.De même, les opposants aux politiques de contr?le et de privation de droits des logiciels propriétaires se trouvent tout aussi bien du c?té des défenseurs de la libre entreprise que du c?té des opposants à la marchandisation du monde.
A contrario, l'internet ne se résume pas au seul fait de s' publiquement. Les conversations privées que l'on y tient par e-mail, ou messagerie instantanée, tout comme les sites que l'on visite, les documents, fichiers et données que l'on y partage ou télécharge, relèvent bien évidemment de la vie privée. Le problème, c'est la porosité et le flou qui sépare ce que l'on écrit ou exprime sur l'internet, et ce que l'on y fait, lit, ou vit.
"Dans une démocratie, je considère qu'il est nécessaire que subsiste un espace de possibilité de fraude. Si l'on n'avait pas pu de fausses cartes d'identité pendant la guerre, des dizaines de milliers d'hommes et de femmes auraient été arrêtés, déportés, sans doute morts. J'ai toujours été partisan de préserver un minimum d'espace sans lequel il n'y a pas de véritable démocratie."
In fine, la question qui se pose aujourd'hui est peu ou prou la même que celle qui prévalait au tournant des années 70, lorsque des féministes, homosexuels, enfants d'immigrés, ont réclamé le droit d'être libre de leur vie sans être discriminés, avec les mêmes droits que les m?les blancs dominants, et sans à se ou à se aux coutumes et usages de ceux qui ont le .
Sur l'internet, les défenseurs des libertés ont un temps d'avance, mais sont constamment harcelés. Dans l'espace physique, les ennemis de la liberté ont gagné le combat idéologique, mais peinent à démontrer l'efficacité du tout-sécuritaire. Et le vent tourne. Ainsi, dans son tout de politique générale, Nick Clegg, le nouveau Vice-Premier ministre libéral-démocrate britannique, a déclaré un terme à la société de surveillance :
En mars 1981, , premier ministre socialiste, que "pour la droite, la première des libertés, c'est la sécurité, pour nous la gauche, la première des s, c'est la liberté". Fin 1997, , puis Lionel Jospin déclarèrent, a contrario, que "la première des libertés, c'est la sécurité", signant en cela la victoire idéologique des partisans du tout sécuritaire.
La montée en puissance de la société de surveillance ne date pas des attentats du 11 septembre 2001, et n'a [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel pas cher[/url] rien à avec le Net. Par contre, c'est sur le Net que l'on trouve le plus d'arguments, et d'opposants, à cette société de surveillance, et il n'est pas exclu que cette génération, lorsqu'elle entrera dans l'arène du débat politique, ne sera pas aussi dupe que celle qui l'a précédée.
DE LA PROTECTION ? LA PROJECTION DE NOS DONN?ES PERSONNELLES


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