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He admits, "I do not want to let them know I was chopped up in a hospital, for fear that they know will worry." Doctor persuade Zhou,[url=http://www.jaimeebishop.com/baltimore-ravens-c-65.html]Baltimore Ravens jerseys[/url], if not timely surgery, vascular necrosis may be, the consequences will be very serious.
Etc. Mr. Zhou was taken to hospital after the surprising scene occurred, he was lying on the bed kept shouting, "You lied to me,[url=http://www.kordil.net/packages/giubbotto-woolrich/]giubbotto woolrich[/url], I'm going person." Chow injured to hospital why do not want to
Newspaper reporter Liu Baoqi
Mr. Wang said, according to Mr. Zhou colleagues,[url=http://www.kordil.net/packages/woolrich-bambino/]woolrich bambino[/url], 16 evening,[url=http://www.kordil.net/packages/woolrich-donna/]woolrich donna[/url], he and Mr. Zhou and his party in a restaurant near the bus four companies within the drink.
Chow colleagues subsequently reported to the police, the two young men who stabbed but escaped.
Finally, he underwent surgery.
After surgery, the attending physician, said the injured was lucky, the injured parts of the vessel has not been punctured.
's Hospital orthopedic trauma when I saw one wearing a gray blazer

Mr. Zhou said in Cabaret because not a word to each other face, angered at the two young men singing inside, two young people took a two fruit knife toward the thighs and buttocks Chow stabbed to go.
young man lying in bed, wearing white shoes feet were red with blood flowing down along the thigh.
After being stabbed Mito, Mr. Zhou tried to counter each other, but excessive bleeding,[url=http://www.jaimeebishop.com/indianapolis-colts-c-297.html]Indianapolis Colts jerseys[/url], and ultimately fell to the ground.
Drinking alcohol, they went to a nearby karaoke singing.
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clkelyqld2 · Posted: Thu 20:36, 10 Oct 2013 Post subject:

De leur c?té, les entreprises occidentales implantées dans les pays émergents tentent de les droits fondamentaux, au moins pour leur image. Des coopérations syndicales s'organisent au niveau des groupes. Ainsi, pour participer les Chinois aux négociations paritaires, Volkswagen a créé dès 1999 [link widoczny dla zalogowanych] un comité d'entreprise mondial (CEM) sur le [link widoczny dla zalogowanych] modèle des comités d'entreprise européens, où les représentants chinois sont des observateurs. Renault et DaimlerChrysler ont fait de même [link widoczny dla zalogowanych] en 2000 et 2002.
Avec la mondialisation, le champ de la coopération s'est élargi : "Des réseaux syndicaux s'organisent au niveau de l'entreprise chez Telefonica, Ford ou ", rappelle le politologue , de l'Institut de recherches économiques et sociales (IRES). Plus récemment, "à l'automne 2009, des syndicalistes [link widoczny dla zalogowanych] canadiens ont sollicité la solidarité des syndicats brésiliens pour régler un conflit dans une entreprise brésilienne propriétaire de mines au Canada", relate , secrétaire général de la commission syndicale consultative auprès de l'OCDE.
Cette volonté de coordination au niveau mondial a pour objet de les défis de la crise. Mais la mondialisation et la montée en puissance des pays émergents, qui ont modifié les rapports de force sociaux, ont-elles laissé la place pour une négociation collective efficace ? Si c'est le cas, les organisations syndicales sauront-elles la ?
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Dans un premier temps, "la mondialisation a mis les syndicats [link widoczny dla zalogowanych] en présence d'une nouvelle norme. Alors que les négociations avaient longtemps été encadrées par les gains de productivité et l'inflation, la norme est devenue la compétitivité. En , une loi a ainsi été adoptée dans les années 1980 pour la sauvegarde de la compétitivité belge face à la France, l' et les . Selon ce texte, les hausses de salaires devaient se dans le respect de la compétitivité", note , sociologue à l'Université libre de Bruxelles.
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Le contenu des accords conclus dépend du niveau de négociations : "Les 68 accords cadres internationaux (ACI), passés entre des multinationales et des fédérations internationales de branche, engagent à les droits fondamentaux des travailleurs ; tandis que les accords transnationaux signés dans le cadre des comités d'entreprise européens portent sur les conditions de restructurations, les questions de santé et de sécurité, la sous-traitance et l'intéressement", indique Udo Rehfeldt. "Les revendications salariales peuvent par les négociations collectives de branche, c'est pourquoi le groupe de Doorn s'était constitué au sein de la Fédération de la métallurgie afin de une salariale commune", explique , chercheur à l'IRES.
Le dialogue social entre lobbying et négociations
Parce qu'elles veulent des parts de marché dans les pays occidentaux et sur le marché mondial, les entreprises chinoises ont commencé à s'intéresser aux normes internationales. Leurs organisations syndicales, qui comptent 200 millions de membres, se sont informées sur les principes directeurs de l'OCDE. Ce qui n'empêche pas les entreprises chinoises, par ailleurs, de les quand elles s'installent en .
Les syndicats mondiaux ripostent par des stratégies de lobbying, au niveau des institutions internationales comme des entreprises. Ils ont ainsi obtenu de la Société financière internationale, filiale de la Banque mondiale qu'elle conditionne depuis 2007 ses passations de marché au respect des normes de l'Organisation internationale du travail (OIT). Ils ont incité des multinationales à la déclaration de l'OIT relative aux droits fondamentaux au travail (liberté syndicale, interdiction du travail des enfants et du travail forcé, etc.) ainsi que les principes directeurs de l'OCDE, qui servent depuis 1976 de code de bonne conduite à ces entreprises. Ce qui a permis à des syndicats privés de parole dans leur pays de plainte auprès des autorités du pays d'origine de la multinationale. "Depuis 2000, quelque 120 plaintes ont ainsi été transmises aux "points de contact nationaux", dont la majorité provient, depuis 2006, des pays non membres de l'OCDE, indique John Evans. Mais des pays comme les Etats-Unis, [link widoczny dla zalogowanych] la Corée et le sont toujours réticents à cette incitation."
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Dans de nombreux pays émergents, l'entrave au droit syndical est [link widoczny dla zalogowanych] courante : "En 2008, il y a eu au moins 76 morts de syndicalistes ou de travailleurs voulant leurs droits syndicaux dans le monde, dont 49 en Colombie, indique Nadine Thevenet, responsable pour la CSI du rapport annuel sur les violations des droits syndicaux dans le monde. Lorsqu'ils ont des droits, [link widoczny dla zalogowanych] les travailleurs sont souvent maintenus dans une situation qui les empêche de s' pour les défendre. La répression n'est pas toujours mortelle, comme en Amérique latine, mais passages à et licenciements massifs sont des réponses courantes aux mouvements de protestation, en Inde ou en , par exemple. Les dirigeants syndicaux sont également les cibles privilégiées lors des crises politiques, comme ce fut le cas en septembre 2009 en ."
Répression
En réaction, les syndicats belges, allemands, luxembourgeois et néerlandais ont constitué en 1998 "le groupe de Doorn", une initiative de coopération transnationale alors inédite, destinée à les négociations salariales. Et, en 1994, une directive européenne a créé les comités d' européens, pour que le droit d'information et de consultation des travailleurs soit respecté au-delà du sol national.
L'enjeu de la mondialisation est, pour les syndicats, de la complémentarité des niveaux d'intervention entre d'une part l'institutionnel et l'entreprise, et d'autre part le [link widoczny dla zalogowanych] national et le transnational.
"Ces nouvelles pratiques de [link widoczny dla zalogowanych] coopération syndicale se sont accélérées, en raison de la hausse des investissements des entreprises des pays émergents dans le monde et de l'accroissement de leur taille", poursuit M. Evans.
, attendu à Washington les 20 et 21 avril, les ministres du travail et de l' devaient lundi 19 [link widoczny dla zalogowanych] avril les partenaires sociaux du , d', d'... comme de France ou du , venus leur une "déclaration syndicale internationale" [link widoczny dla zalogowanych] signée par la Confédération syndicale internationale (CSI), les [link widoczny dla zalogowanych] fédérations syndicales internationales (FSI) et la Commission syndicale consultative auprès de l'OCDE (TUAC). Hormis ceux de et d', les syndicats des pays émergents et des pays industrialisés ont élaboré ensemble ce programme en faveur d'"un nouveau contrat social" au service de l'emploi, du respect des droits fondamentaux et de la [link widoczny dla zalogowanych] liberté syndicale. A l'issue de ministérielle (qui se tiendra sans les délégations européennes pour cause de nuage islandais), les conclusions devront être transmises aux chefs d'Etat du G20 qui se retrouveront à Toronto (Canada) en juin.
Mais l'éclatement des systèmes de production dans des pays où le respect des droits est très variable, où le secteur informel peut être considérable et la représentativité syndicale totalement inefficace exige des syndicats de preuve d'innovation. D'autant que les pays émergents tiennent une place de plus en plus importante dans l'économie mondiale. "La Chine (que nous notons 1,6 sur 10 pour les critères des droits de l'homme), avec un syndicat unique lié au Parti, ne conna?t pas de pratiques syndicales libres. L'Inde (5,5 sur 10) dispose bien de [link widoczny dla zalogowanych] l'environnement légal permettant le libre exercice du syndicalisme et le dialogue social, mais il ne s'applique pas forcément en pratique, puisque le secteur dit organisé ne pèse que 7 % de l'emploi total, le reste relevant du secteur informel", indique Sylvain Guyoton, vice-président d'EcoVadis, société spécialisée dans la notation sociale et environnementale des fournisseurs des multinationales.
68 accords ont été signés entre des groupes mondiaux et des fédérations syndicales internationales, la plupart depuis 2000