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Il y a trois [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] semaines, confie un financier de Londres, plusieurs banques britanniques se sont vues "plusieurs centaines de millions d'euros de dette souveraine grecque, de la part d'une grande banque fran?aise, résolue à s'en débarrasser". D'autres tentatives de cessions ont été engagées, mais les acheteurs sont rares.
Mais à ce jour, seul le Crédit agricole a fait état d'une exposition totale de... 850 millions d'euros, incluant sa filiale grecque Emporiki, tandis que BNP Paribas a parlé d'une exposition limitée. Ces chiffres restent incomplets puisqu'ils se limitent au compte propre des banques. Rien n'est dit sur l'exposition pour compte de tiers, autrement sur les risques supportés par les clients (via les comptes-titres, OPCVM, assurances-vie, etc.).
"Je ne sais pas si l'appel des politiques à la solidarité envers la Grèce va le mot d'ordre de la maison, mais pour l'instant chez nous, la Grèce est sur la liste rouge. On n'a plus le droit d'y un centime !", indique un directeur de filiale d'une grande banque décentralisée en France.
En France, lors d'échanges téléphoniques entre le Trésor et les banques, dimanche, celles-ci se sont engagées à le jeu, "en maintenant la totalité de leurs concours, explique-t-on dans [url=http://lkkgame.freebbs.com.tw/viewthread.php?tid=60160&extra=]louboutin pas cher Volvo va supprimer 2 000 emplois dans le monde[/url] l'entourage du président de la Fédération bancaire fran?aise (FBF), (BNP Paribas). Un engagement a été [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs2/epad.cgi?mode=view&no=927176&res=1&page=400]moncler La préférence aux déb[/url] pris auprès des pouvoirs publics, aucune autre forme de participation au plan ne nous a été demandée".
Cette invite à ne pas la Grèce, alors qu'elle va face à une récession violente, du fait du plan d'austérité sévère imposé en échange de l'aide européenne, vise à le mouvement de retrait, amorcé par les banques étrangères.
L'idée des gouvernements est moins de le sous forme [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] de prêts bonifiés à l'Etat grec – une piste toutefois sérieusement explorée à Berlin –, que de le à son niveau de financement global de l'économie grecque.
En clair, il s'agit [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] de ne l?cher ni l'Etat ni le secteur privé. Les banques sont invitées à , dans leurs , leurs titres de dette souveraine grecque et, pour celles qui font [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] des affaires en Grèce (notamment, les banques fran?aises Crédit agricole et Société générale, parmi les plus actives), à d' des [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] aux ménages et aux .
"LA GR?CE EST SUR LA LISTE ROUGE"
De fait, la consigne se heurte au principe de réalité. D'un c?té, les Etats considèrent le soutien des banques comme une contrepartie normale aux aides publiques massives accordées au secteur, pendant la . Et ce, d'autant qu'une nouvelle fois, le plan de sauvetage grec profite aux banques : il éloigne, au moins provisoirement, le risque de défaut de la Grèce sur le paiement de sa dette, et leur évite donc des pertes substantielles sur leurs portefeuilles d'obligations.
C?té secteur privé, la tonalité est la même. Des consignes strictes ont été passées aux équipes à Athènes, pour les vannes des crédits au secteur privé, alors qu'inévitablement, les défauts de paiement vont se .
au secours de la ? [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] Sit?t adopté le plan d' de 110 milliards d'euros à Athènes, dimanche 2 mai, les dirigeants de la zone euro ont exhorté le secteur bancaire à à l'effort collectif de sauvetage.
Ainsi, l'exposition du secteur bancaire fran?ais à la Grèce, toutes créances publiques et privées confondues, atteint plus de 59 milliards d'euros selon la Banque des règlements internationaux (BRI) – 53 milliards d'euros au 31 décembre 2009, selon la , dont 16 milliards de dette publique, selon d'autres sources extrêmement fiables.
De l'autre, [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] les banques, à peine remises de la déb?cle des subprimes, doivent se prémunir contre les risques, notamment en évitant de de mauvais crédits. Les nouvelles règles du jeu bancaires, en préparation au Comité de B?le, et vivement attendues par les dirigeants du [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] G20, sont même censées leur politique de prudence.
Depuis l'éclatement de la crise des publiques grecques, et la dépréciation de la dette souveraine d'Athènes, de grands établissements financiers européens ont entrepris de se délester de leurs stocks d'obligations d'Etat. Au risque d' les difficultés de la Grèce.
Selon [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] nos informations, pour éviter de mauvaises surprises, l'Autorité de contr?le prudentiel (ACP) et l'Autorité des marchés financiers (AMF) viennent [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] d'écrire [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] à toutes les banques fran?aises, afin d', dans des délais rapides, le montant de leur exposition aux dettes de la Grèce, du , de l' et de l'.
Prises en étau entre ces demandes contradictoires, il y a fort à que [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] les banques lèvent le pied sur leurs engagements en Grèce. Les banques fran?aises sont, on le sait, les plus exposées au risque grec. Elles sont dans la ligne de mire des analystes et des investisseurs en , qui peinent à chez qui précisément se trouve la dette grecque, et pour quel montant.
Une réunion sur le même sujet est prévue à Berlin, d'ici à mercredi 5 mai. L'enjeu, pour l', est aussi de des gages de fermeté envers [url=http://www.fyread.com/viewthread.php?tid=32889&extra=]ugg pas cher Super nanny chez Volkswagen[/url] ses banques, pour mieux passer la pilule du plan grec auprès d'une opinion publique hostile. La contribution allemande au plan de sauvetage passera par la banque publique allemande KfW.